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Il était une fois les Abyssanô
18 mars 2013

theorie brouillon

NDA : Le texte originel est volontairement modifié car en cours d'écriture... bref, ce qui compte c'est de garder à la esprit que tout est fictif ... (ou peut-pas après tout) ;-)


 

Bonjour cher Lecteur.


Si tu as choisi ce qui suit c’est que toi aussi, d’une certaine manière, tu fais partie de ceux qui cherchent à comprendre l’incompréhensible, à définir l’indéfinissable. Une telle façon d’être te pousse à te poser toujours mille et une question allant du simple « quel temps fera-t-il demain ? » à « pourquoi c’est comme ça ? » ou « qu’est-ce qui fait que … ? » Tout comme moi. Comprendre le pourquoi du comment est une énigme perpétuelle qui jalonne mes pensées, malheureusement la plupart des réponses trouvées ne font que tomber tels des dominos sur d’autres questions aussi farfelues ou improbables. Un cercle vicieux se met en place et voilà comment tous deux nous en sommes arrivés là : toi lisant ma prose tentant d’expliquer les diverses solutions (certainement fantaisistes) que mon pauvre cerveau est parvenu à trouver à toutes ses interrogations.

Kathy Moon  

 

PROLOGUE

 

Grande amatrice de discussions et de débats, il m’arrive souvent de m’interroger sur le pourquoi du comment des choses, de la vie. N’allez pas croire que je ne fasse rien de mes journées, j’ai un travail très prenant mais à la moindre seconde de disponible mon esprit aime à vagabonder, à imaginer, à s’interroger et à réfléchir… Parfois, lorsque j’ai le temps, il arrive même que je transcrive via mon clavier et mon ordinateur le bilan de ces petites méditations.

Je ne prétends pas avoir la science infuse. Bien loin de moi cette idée ! mais j’aime apprendre, comprendre et partager. C’est donc tout naturellement que j’ai eu envie de coucher par écrit cette réflexion qui me taraude depuis plusieurs années à présent. Certains aimeront, d’autres riront et enfin d’autres me prendront pour une parfaite allumée (sans doute n‘auront-ils pas tout à fait tort dans le fond). Peu importe en fait mon envie en vous laissant lire les pérégrinations de mon cerveau au travers de cette thématique,il s'agit juste de partager cette idée qui se résume en deux citations, une d’Albert Einstein : « Tout est relatif dans l’absolu ! » et une de Lavoisier « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. »

Le raisonnement exposé ici est totalement subjectif et correspond  plus à un ressenti, une sorte de concept qu’à de faits concrets, des preuves.   En dévoilant ce ressenti, je n’ai  donc aucune volonté de nuire à des mouvements religieux, penseurs, politiques, scientifiques ou autres.Il faut plutôt comprendre  ce qui va suivre comme une méditation sur le fonctionnement de l’Homme et de sa pensée en se projetant dans la dimension de l‘infiniment petit.

 Commençons donc par un point fondamental : qu’est-ce que l’homme ? Voilà une question à laquelle bon nombre d’individus a tenté de répondre. Il semble que tout dépend à quel niveau on se place pour répondre à cette question.

 

Différents niveaux

Echelle planétaire

A l’échelle planétaire ou universelle, il faut bien reconnaitre une chose : l’être humain est à peu de chose près l’équivalent d’un grain de poussière, voir d’un centième de millième de ce dernier. A un niveau plus raisonnable, disons anthropologique, l’homme actuel n’est plus ni moins qu’une évolution d’un grand singe, autrement dit juste une espèce parmi toutes celles existantes qui a suivi un chemin en s’adaptant à son environnement. Si on se réfère à un niveau plus matérialiste, l’homme est une machinerie biologique particulièrement évoluée de part sa morphologie, ses organes et ses capacités physiques ou mentales. C’est sans doute pour cela que certains voient dans l’être humain l’espèce supérieure. Voilà matière à débattre, si vous faites partie des individus qui, comme moi, pensent que l’Homo sapiens n’est à peu de choses près qu’un animal adaptable, ingénieux mais terriblement prétentieux et égoïste.

Echelle humaine

Si on pousse la réflexion sur l’humanité un peu plus loin, on entre dans le monde du microscopique. On réalise que l’homme comme tout ce qui l’entoure est composé de cellules. Ces cellules s’agencent en une trame qui permet de constituer des organes, des fluides et donc cette formidable machinerie qu'est le corps. Elles interagissent entre elles à distance via des petites molécules ou par contact direct.

Plongeons encore plus loin dans l’infiniment petit. On peut constater que ces cellules ne sont-elles-mêmes qu’un puzzle de molécules interagissant les unes avec les autres en permanence. Ces molécules ne sont-elles-même qu’un assemblage complexe d’atomes. Restons au niveau des atomes, invisibles mais pourtant bien réels et concrets.

Au-delà : L’infiniment petit

A mes yeux donc, l’être humain comme tout ce qui l’entoure n’est donc qu’un assemblage d’atomes, d’électrons gravitant selon des orbites soumises à des règles physiques définies autour d’un noyau, lui-même composé de neutrons et de protons .

En gros, entre une table et vous, à l’échelle où se situe la réflexion de cet exposé, il n’y a pas beaucoup de différences. Afin de comprendre un peu cela, raisonnons en grains de sable, élément visible et palpable. L’atome est le grain de sable. Sur la plage, les grains de sables sont libres comme les atomes dans l’air, à la différence près que nous voyons le sable, nous pouvons le toucher et si nous étions particulièrement patients nous pourrions même compter un à un chacun des petits grains. Il arrive que ces petits grains s’assemblent sous l’action d’autres éléments comme l’eau et forment des petits tas, un peu comme des atomes qui s’unissent pour créer une molécule, qui , à son tour, se couple avec d’autres molécules pour construire une méga-molécule, qui elle aussi va s’assembler à d’autres ...etc. Petit à petit des organites, des organes voir des organismes de tailles variées vont être créés. Lorsque l’organisme ainsi crée voit son existence s’achever, Il se désagrège mais sans pour autant disparaitre : ses constituants infimes se séparent et redeviennent des éléments invisibles à l’échelle humaine mais pourtant bien présent. Comme l’a dit Lavoisier : "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme."

Un exemple


Selon cette vision donc, tout n’est qu‘une question de transformation. Si on reprend comme exemple l’être humain : les gamètes ou cellules reproductrices pour faire simple d’un individu de sexe masculin et d’un de sexe féminin se rencontrent. Par une mécanistique bien établie, ces cellules fusionnent. A l’échelle de l’infiniment petit, cette fusion va pouvoir être assimilée à des échanges électroniques entre les atomes des différentes molécules formant ces cellules reproductrices, le tout dans le corps de l’être féminin.

La femme interagit aussi avec son environnement : l’air respiré, l’alimentation, la pollution, les intempéries… Cela va entrainer des échanges atomiques.

Ainsi le petit être qui commence à exister sera le savant mélange d’atomes de son père, de sa mère mais aussi de l’environnement de ces derniers. Les atomes s’échangent des petites particules, les électrons. Petits éléments gravitant autour d’un noyau selon une orbite définie à peu de chose près. Les échanges atomiques permettent de créer des molécules qui vont s’associer pour former des amas qui eux-mêmes se regroupent pour construire des éléments visibles à l’échelle de l’œil humain.

Voilà une vision extrêmement simplifiée des interactions qui permettent qu’un élément physique aussi petit qu’un atome puisse conduire à l’élaboration d’une machinerie biologique aussi complexe qu’un corps humain.

 

 

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